Express Radio Le programme encours
L’une trouve ses sources dans le train de vie de l’Etat, de l’administration, avec un management publique archaïque non digitalisé et des effectifs pléthoriques et mal répartis dans les ministères, les collectivités locales, les agences publiques, les offices nationaux, les entreprises publiques,…un corporatisme syndical paralysant…
L’autre trouve ses sources dans le climat des affaires, un État percepteur et non animateur du développement, la formation médiocre des ressources humaines, le système bancaire et financier défaillant, l’infrastructure désuète,… et parfois l’absence d’audace chez nos entrepreneurs pour investir et conquérir de nouveaux marchés,…
L’Etat doit résoudre ses problèmes d’équilibre des finances publiques pour ne pas peser sur l’économie nationale, ne pas peser sur l’agilité des entreprises compétitives et entraver leur développement, sans ça le scénario libanais est en effet à envisager…
Pour l’instant ce n’est pas le cas même si les notations souveraines de la Tunisie sont à la baisse, car oui le budget de l’Etat ne boucle pas, en revanche nos entreprises, cet actif précieux, continuent à travailler, à exporter, à innover parfois, à se débattre face à un secteur public souvent ressenti comme une tare.
Walakom sadid annadhar.
Hassen Zargouni
Écrit par: Asma Mouaddeb
Le directeur général par intérim de l’agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA-Tunisia), Hatem Essoussi, a estimé, jeudi 26 janvier 2023, que la Tunisie avait un grand potentiel mais qu’un brouhaha perturbait son progrès. Lors de son passage dans l’émission Expresso, Hatem Essoussi a déclaré que l’agence avait pour objectif de drainer des investissements étrangers à hauteur de 4 milliards de dinars d’ici 2026. Notons qu’au terme de l'année 2022, […]
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