Express Radio Le programme encours
Soulignant tout d’abord le dynamisme et l’intelligence collective dont l’Afrique est capable et notamment par le biais de ce forum, les initiatives exposées sont en ce sens réconfortantes vis-à-vis du futur du continent selon-lui. En effet, dans la prochaine décennie, l’Afrique sera la région du globe dans laquelle la population va croitre le plus rapidement et où les défis seront en ce sens, plus forts et intenses. En premier lieu, ils concerneront la démographie et la génération de jeune qu’il va falloir, former, éduquer et accueillir, car ils forment la société de demain.
Leur transmettre un message d’espoir vis-à-vis de la complexité de notre futur, car face aux divers enjeux de la société actuelle, il y a tout de même des solutions. Le numérique entre-autre, qui s’impulse parfaitement en Afrique et notamment en Tunisie, est un atout pour avancer dans cette compréhension de la complexité du monde et permettre de trouver les bonnes solutions pragmatiques.
Améliorer le fonctionnement des transports, la production d’énergie (solaire notamment), l’éducation avec la connaissance et la pratique des outils numériques, ainsi que le secteur de la santé qui nécessite un grand nombre d’investissement sur le territoire, voilà les enjeux majeurs de ces prochaines années.
Il insiste aussi sur l’idée de faire des divers problèmes que l’Afrique a pu rencontrer des opportunités. Et cela résulte de la formation dans les disciplines scientifiques et techniques, mais aussi d’un volontariat en particulier avec des gouvernements qui soutiennent l’initiative privée, permettant de faire coexister une volonté politique de cohérence entre les nations, les entreprises et les individus afin de créer une atmosphère de liberté et de responsabilité.
Un message fort déjà énoncé en 2005 à Tunis lors du sommet mondial de la société de l’information, qui doit aujourd’hui pouvoir désormais porter ses fruits, grâce à des organisations garantes d’actes, au-delà des paroles, afin d’impulser les divers projets.
Enfin, favoriser un climat collectif et international mais aussi considérer l’éducation comme levier et force à partir duquel le destin est possible. Le chemin à suivre résulterait donc de l’exécution de l’accord de Paris sur le climat avec des conséquences considérables sur l’énergie et l’industrie. Une solidarité et un arbitrage doivent être mis en place entre les divers régions et continents, avec une conscience concernant les choix face aux possibilités, sans impliquer plus de tentions. Adaptation et motivation pour la transformation digitale, piliers du futur africain.
Written by: Asma Mouaddeb